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ART PUBLIC ÉPHÉMÈRE

Œuvres textiles, photomontages, sculptures, tours de briques en cire d’abeille, ces créations hétéroclites portent un message d’espoir en réponse aux impacts de la pandémie. Elles célèbrent des citoyens inspirants et le désir de partager.

JEAN-YVES CÔTÉ, COMPASSION, 2018, Acier inoxydable, acier intempérique, cuivre, Lexan et granite

L’œuvre représente deux personnages qui se protègent mutuellement des tourments qui les habitent, en rêvant d’un monde différent de celui qu’ils ont connu. Bien ancrées au sol, ces deux figures regardent vers l’avenir et s’élancent ensemble vers l’inconnu. En collaboration avec le Conseil de la Sculpture du Québec

À voir au : Parc Saint-Émile (section végétalisée), Rosemont-Petite-Patrie

TANHA GOMES, Bleu des rêves, 2020, Installation

Bleu des rêves aborde les notions du vivre-ensemble et de l’intimité dans une série de portraits de grand format imprimés en cyanotype sur du canevas. Tableaux vivants avec des silhouettes humaines grandeur nature, ces œuvres utilisent un procédé photographique artisanal qui produit des images monochromes bleues. La série évoque de manière ludique le monde des rêves et le désir de partage, dont l’urgence se fait particulièrement sentir dans le contexte des restrictions sanitaires actuelles.

Ces images ont été créées avec des participants et des participantes de différents âges et origines pour rendre hommage à la diversité étonnante de Montréal. 

Cette installation comporte sept images qui sont réparties dans les trois lieux suivants :

Parvis de la bibliothèque de Rivière-des-Prairies, Parc André-Corbeil-dit-Tranchemontagne, Parc Moulin-du-Rapide, Parcours Gouin- arrondisement Rivière-des-Prairies

GÉRALDINE LAURENDEAU, Cétacé. Mémoire de baleine, 2020, Bois, métal

Cette installation souligne le passage récent d’un rorqual à bosse près de Montréal, tout en évoquant la présence ancienne de plusieurs cétacés dans la région, à l’époque où la mer de Champlain avait envahi la plaine du Saint-Laurent. La jeune femelle rorqual est morte dans les semaines suivant son séjour aux abords de la ville. Cette œuvre lui rend hommage et cherche également à honorer les grands mammifères marins, dont plusieurs espèces sont aujourd’hui en péril.

Oeuvre à voir au : Parc de la Promendade Bellerive, Mercier-Hochelaga-Maisonneuve

JACQUES LEBLEU, Direction Nord, 2020, Impression sur bannière

L’œuvre évoque le paysage urbain du nord de Montréal que l’artiste habite et explore depuis près de vingt-cinq ans. Tissé à partir de ses observations sur le terrain des effets de la pandémie, ce photomontage évoque autant les réseaux humains que le cloisonnement vécu à différents égards, comme la présence persistante de la nature avec son rythme paisible et si souvent associée au quartier d’Ahuntsic. Cet idéal de tranquillité bucolique est toutefois mis à mal par la présence de l’autoroute métropolitaine, axe qui favorise la présence des automobiles et dont les formes représentées ici viennent moduler la trame narrative de l’œuvre.

Oeuvre à voir au :Parc Saint-Paul-de-La Croix, Ahuntsic-Cartierville

BERTRAND R. PITT, Écho : d’après Pauline Julien, L’âme à la tendresse, 2020, Écho : d’après Leonard Cohen, Hallelujah,2017-2018, Écho : d’après Lhasa de Sela, La Frontera,2020, Écho : d’après Gaston Miron chanté par Chloé Sainte-Marie, Je marche à toi 2018. Photographie numérique.

La série est constituée de photographies de paysages auxquels l’artiste intègre des formes d’ondes acoustiques évoquant les contours d’une île, d’un rivage, d’une forêt ou d’une ville tels qu’on pourrait les apercevoir à l’horizon en situation de contre-jour. L’onde intégrée au paysage est produite par l’écoute d’extraits de discours, de poèmes ou d’œuvres musicales considérées comme marquantes dans la culture québécoise et ayant une certaine résonance dans l’actualité ou l’histoire récente.

Pour voir l’ensemble des œuvres de la série et entendre les références sonores à l’origine de chacune des images : https://bertrandrpitt.net/photo-2/echo

Ce projet photographique a été réalisé grâce à une bourse de recherche et de création du Conseil des arts et des lettres du Québec.

Place Wellington, Verdun

DOUGLAS SCHOLES, (Qu’est-) Ce qui se produit quand une chose est entretenue (?), volet IV, 2020. Cire d’abeille, contreplaqué et bois d’épicéa, clôtures modulaires de construction

Constituée de trois tours comprenant 1 000 briques creuses en cire d’abeille, l’œuvre joue sur la nature transformative de ses matériaux. Subissant des changements sous l’effet des éléments naturels, elle doit être entretenue, réparée et reconstruite de manière cyclique. Pendant toute la durée de l’installation, l’artiste sera sur place une fois par semaine pour veiller à l’entretien des tours et les reconstruire si nécessaire. L’œuvre témoigne de l’intérêt de Douglas Scholes pour les questions liées à l’entretien des structures et fait écho à l’architecture des communautés naturelles (les abeilles) et fabriquées (les villes). Les activités cycliques d’entretien contribuent à rendre la ville utilisable par sa population, gestes à l’origine de cette sculpture en perpétuelle transformation.

En collaboration avec DARE-DARE, Centre de diffusion d’art multidisciplinaire de Montréal

À voir à l’Angle des avenues Atwater et Greene, près de l’organisme Dare-Dare, Sud-Ouest

TRICOT PIRATE (Karine Fournier),Récifs covidiens / récits coralliens, 2020. Textile, métal, plastique

Les récifs coralliens abritent une très grande biodiversité marine et existeraient grâce à des interactions complexes avec leur environnement. Mais leur équilibre biologique reste fragile et on observe que plusieurs récifs blanchissent à cause du réchauffement climatique. Pourtant, on retrouve dans les massifs coralliens 33 % de la vie marine, alors qu’ils représentent moins de 1 % de la superficie totale des océans.

Avec cette œuvre, l’artiste établit un lien entre les humains et les coraux : les uns et les autres vivent en colonies et sont de nature grégaire. La COVID-19 nous oblige à ralentir. Prenons une pause pour penser à l’impact de notre mode de vie sur les écosystèmes marins.

Parc Villeray, Villeray-St-Michel-Parc-extention

Pour visualiser les œuvres sur la carte interactive : https://services.montreal.ca/programmation-culturelle/

Ce parcours d’installations et d’œuvres d’art dans l’espace public s’inscrit dans la programmation culturelle des Voies actives sécuritaires * financée dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel entre la Ville et le ministère de la Culture et des Communications.

Les trésors cachés du plateau-mont-royal !

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