

Roadsworth commence à peindre les rues de Montréal en 2001. D’abord inspiré par le manque de pistes cyclables et son questionnement sur notre culture « automobile », il développe un langage singulier en travaillant la signalisation routière au sol et d’autres éléments du paysage urbain à partir de pochoirs. Il réalise plusieurs commissions d’art public et présente sa première exposition solo en novembre 2010.

- 14 Oeuvres
- 50min
- Station de métro Place-des-Arts
Espace culturel George-Émile-Lapalme
Description de l'oeuvre
L’œuvre parle de cette connexion indéniable qui existe entre les êtres et les organismes vivants. La ressemblance frappante des anneaux d’un arbre à l’empreinte digitale humaine; les samares qui rappellent les ailes de la libellule; nous sommes tous intrinsèquement liés d’une manière ou d’une autre. La liaison entre ces éléments et leur co-dépendance est à la base de la notion de développement durable. Cette murale a été produite par MU.