{"title":"R\u00e9ciprocit\u00e9s | Art Public Montr\u00e9al","thisUrl":"https:\/\/artpublicmontreal.ca\/oeuvre\/reciprocites\/","body_class":"apm_artwork-template-default single single-apm_artwork postid-72636 apm lang-fr apm-full-js nav-env-classic","query_hud":null,"active_filter":null,"alternate_language_url":"https:\/\/artpublicmontreal.ca\/en\/","clear_filter_collection":0,"clear_filter_tour":"clear","data_attributes":{"data-view-type":"apm_artwork"},"filter_root_url":"\/collection\/","artworkNav":false,"mapMarkers":[{"id":72636,"slug":"reciprocites","title":"R\u00e9ciprocit\u00e9s","permalink":"https:\/\/artpublicmontreal.ca\/oeuvre\/reciprocites\/","year":"2022","loc":{"lat":45.48968579999999661822585039772093296051025390625,"long":-73.5644908999999955767634673975408077239990234375},"artist_names":"<span>Marie-Michelle<\/span> <strong> Deschamps<\/strong>","thumb":"https:\/\/artpublicmontreal.ca\/wp-content\/uploads\/2023\/05\/Capture-decran-le-2023-05-03-a-17.26.19-150x150.png","infoBox":false,"cat_color":"#e50f09","env":"outdoor","singleArtwork":true}]}
Le travail de Marie-Michelle Deschamps se concentre sur le langage en tant qu’espace habitable: une véritable structure et un lieu où résident des formes esthétiques. Sa pratique est ancrée dans la conversation, la collaboration et la traduction, soulignant le pouvoir transformatif du langage dans le dialecte formel de l’architecture.
Marie-Michelle Deschamps est basée à Montréal, Canada, et détient une maîtrise en arts visuels de la Glasgow School of Art (Glasgow, Écosse). Les œuvres de Marie-Michelle Deschamps font partie des collections permanentes du Musée d’art contemporain de Montréal, du Musée Voorlinden (Wassenaar), de la Fondation Lafayette (Paris), de la Glasgow School of the Arts (Glasgow), de la Enamel Arts Foundation (Los Angeles) et de la Caisse de dépôt et placement du Québec (Montréal).
L’œuvre Réciprocités est une installation aux formes simples qui mettent en relation trois grandes arches en acier inoxydable et deux éléments de bronze : une frise suspendue où l’on retrouve des silhouettes de plantes découpées; et, au sol, donnant l’impression de s’être détachée de l’une des arches, une sculpture en forme du fruit de l’asclépiade. Les 16 spécimens botaniques qui composent la frise de bronze, tout comme la forme de l’asclépiade de l’élément sculptural, sont des emprunts à l’herbier The Lost Flora of Montréal, d’Andrew Fernando Holmes (1797-1860), le botaniste et ancien fondateur du département de médecine de l’Université McGill.
Les profilés tubulaires en acier inoxydable qui constituent les trois arches mettent l’accent directement sur le patrimoine industriel du quartier Griffintown.
Réciprocités témoigne de cet échange entre le passé industriel des environs et le renouveau actuel du secteur. Cette œuvre vient célébrer la vie qui reprend son cours au sein d’un quartier florissant.