{"title":"Aura | Art Public Montr\u00e9al","thisUrl":"https:\/\/artpublicmontreal.ca\/oeuvre\/aura\/","body_class":"apm_artwork-template-default single single-apm_artwork postid-62685 apm lang-fr apm-full-js nav-env-classic","query_hud":null,"active_filter":null,"alternate_language_url":"https:\/\/artpublicmontreal.ca\/en\/oeuvre\/aura\/","clear_filter_collection":0,"clear_filter_tour":"clear","data_attributes":{"data-view-type":"apm_artwork"},"filter_root_url":"\/collection\/","artworkNav":false,"mapMarkers":[{"id":62685,"slug":"aura","title":"Aura","permalink":"https:\/\/artpublicmontreal.ca\/oeuvre\/aura\/","year":"2011","loc":{"lat":"45.50881580492301","long":"-73.56439464788514"},"artist_names":"<span>Dominique<\/span> <strong>Blain<\/strong>","thumb":"https:\/\/artpublicmontreal.ca\/wp-content\/uploads\/2017\/04\/16-TNM-Aura-150x150.jpg","infoBox":false,"cat_color":"#e50f09","env":"indoor","singleArtwork":true}]}
Dominique Blain vit et travaille à Montréal. Elle a exposé dans plusieurs villes nord-américaines et européennes ainsi qu’en Australie. Trois expositions rétrospectives majeures lui ont été consacrées : au Royaume-Uni (à Belfast, Londres, Edimbourg, Newcastle et Cambridge) en 1997-1998, au Musée national des beaux-arts de Québec en 1998 et au Musée d’art contemporain de Montréal en 2004. Au Québec, elle a entre autres participé à trois éditions des Cent jours d’art contemporain et a présenté ses œuvres à la Galerie de l’UQAM, à la Galerie de l’Université de Sherbrooke, au Musée régional de Rimouski et au Musée d’art de Joliette.
Dominique Blain a réalisé plusieurs œuvres d’art public au Québec, notamment au Théâtre du Nouveau Monde, à Montréal (2011), à la nouvelle salle de concert de l’Orchestre symphonique de Montréal (2011), aux Jardins de Métis (2007) et à la Grande Bibliothèque, à Montréal (2005).
L’œuvre consiste en une boîte lumineuse de forme circulaire fixée au plafond du hall d’entrée du théâtre sur lequel est imprimé un motif dans des nuances ambrées. Sa composition harmonieuse, à la fois symétrique et organique, rappelle celle des grands lustres des théâtres d’époques. Un décagone dont la composition ressemble étrangement à celles des vitraux de certaines cathédrales et aux coupoles de lieux sacrés, qui se voulaient l’expression universelle du ciel et de l’infini. Ce qui se dessine dans cette boîte lumineuse est en fait une interprétation de la coupe de l’ADN humain.